Ils ont un programme, nous avons un projet, avec vous.

N’ATTENDEZ PAS 6 ANNÉES DE PLUS

Votez et faites voter pour la liste de Véronique AGOGUÉ-FERNAILLON

NOTRE PROJET EST CONÇU POUR QUE LES DÉCISIONS SOIENT PRISES AVEC ET POUR LES CITOYENS

Véronique Agogué-Fernaillon et ses co-listiers

Nos axes de programme

  • Co-Construire notre avenir. Remettre le citoyen au coeur du débat, faire que la voix de chaque citoyen soit entendue et prise encompte. Etre exemplaire et ré-inventer la gouvernance de notre commune.

  • Se déplacer différemment, plus sereinement, en sécurité. Inventer dès aujourd’hui et ensemble les mobilités de demain

  • Manger mieux, Bio et local . Tendre vers le 100% bio et local dans nos cantines et restauration collective.

  • Soutenir l’agriculture locale.

  • Adapter le territoire aux changements climatiques.

  • Tendre vers un territoire zéro carbone. En assurant une transition durable et solidaire vers les énergies positives pour et avec tous les Thorois

  • Favoriser l’économie innovante, locale, circulaire. Une économie d’Avenir, une économie résiliente

  • Développer une offre culturelle novatrice.

  • Rétablir la solidarité et le lien inter-génération.

  • Faire croître l’attractivité du Thor, son rayonnement.

  • Une commune soutien fort de son école.

  • Renforcer les sécurités.

  • Performance et amélioration continue. Planifier, faire mais aussi évaluer régulièrement et ajuster/corriger pour tendre vers l’efficience de nos actions.

Au cours de cette campagne de nombreux projets sont proposés aux Thorois, mais la question de leur faisabilité en termes financiers est rarement abordée.

Hors dans la vie d’une commune il peut y avoir différentes sortes de mandat : ceux où l’on rétablit une situation financière désastreuse et ceux où l’on utilise ce rétablissement.

En 2008, il y avait obligation de réduire une dette devenue insoutenable et d’assainir les finances. C’est ce qu’a réalisé l’équipe de Jacques Olivier. En 2014, la situation était assainie et il a été possible d’investir massivement.

Pour savoir si notre programme est réaliste, l’important est de savoir dans quelle phase l’on se situe à présent. C’est ce que nous allons voir après avoir rappelé les principales dépenses d’équipement de notre programme.

Nos projets d’équipements

  • Une Halle modulable
    projet citoyen élaboré avec les associations emplacement dans le bourg à préciser en fonction des contraintes liées à la proximité de monuments historiques

  • Une Maison des associations
    Les associations manquent cruellement de locaux, la maison Saint Roch pourrait être le lieu idéal.

  • Un Café citoyen
    Lieu où les projets communaux se discutent. Il pourrait être proche de la maison des associations ou dans l’ancien office du tourisme

  • Une Médiathèque
    La médiathèque (bibliothèque, ludothèque, espace de conférence et d’exposition…) est à envisager dans un cadre intercommunal en réseau avec les médiathèques existantes dans les communes environnantes. Son lieu d’implantation est à définir, mais elle doit être accessible facilement et proche du Bourg.

  • Adaptation des bâtiments publics aux conditions climatiques

  • Restauration de l’Eglise
    Notre Dame du Lac est l’un des plus beaux exemples de l’art roman provençal, classé aux monuments historiques. Sa restauration devra être étudiée dès le début du mandat car il s’agit d’un projet qui sera étalé dans le temps. En se basant sur un exemple de restauration en cours dans le Vaucluse un tel projet peut recevoir 60% de subventions (DRAC, département ).

  • Aires de covoiturage

  • Pistes cyclables

  • Rénovation des voies de circulation

  • A ceci il faut ajouter
    La fin du cœur de ville (rue Gustave Roux)
    Le projet sera mené à son terme.

  • Une Halle des sports
    Le gymnase est saturé. Un projet sera défini avec les associations, les écoles, le collège.

  • La Mairie, le diagnostic sur les déformations est en cours
    Quoi qu’il en soit des travaux de modernisation sont à prévoir

  • Des Locaux scolaires
    La capacité d’accueil des écoles devra être mise en adéquation avec l’augmentation prévisible de la population

  • Nous estimons le coût de notre programme à environ 12M€
    Soit environ 2 M€ par an
    Ceci est à mettre en regard avec les dépenses d’équipement du mandat qui se termine

    Dépenses d‘équipement en k€

    15,6 M€ de 2014 à 2019

    Sources : compte des communes, BS 2019, BP 2020

  • L’encours de la dette constitue une des principales limitations au recours à de nouveaux emprunts, en 2015 l’encours de la dette était de 404€ par habitant en 2020 il sera de 929€ par habitant si l’on en croit les indications données lors du vote du Budget primitif.

    Nous freinerons la hausse de l’endettement avant d’atteindre la limite autorisée de 12 ans de capacité de désendettement

    Notre programme le permet et nous l’adapterons à cet objectif si nécessaire.

Mais si l’on ne veut pas alourdir la dette, faut-il augmenter les taux d’imposition ? La masse globale des impôts locaux collectés au Thor était de 3 954 000€ en 2014 soit 460€ par habitant en 2020 elle sera d’environ 5 111 000€ soit 554€ par habitant. Cette augmentation étant due en grande partie à l’augmentation des taux décidée en 2017 (TH+12%, TF+9,6%).

La pression fiscale sur les Thorois est déjà importante, au-dessus de la moyenne de la strate (communes de taille similaire).

Nous avons pour objectif de ne pas augmenter les taux d’imposition.

La ligne directrice de notre programme pour demain

TRANSITER POUR MIEUX VIVRE LE THOR, EN PRENANT SOIN LES UNS DES AUTRES EN TOUTE SECURITE, TOUT EN INTEGRANT DES AUJOURD’HUI LES GRANDS ENJEUX DE DEMAIN A L’ECHELLE LOCALE !

Le samedi 20 juin au Parc des Estourans à 15H00. Notre programme complet !

« La transition prend ses quartiers » au Thor

Il y a 6 mois déjà ! Et on l’oublierai presque… la canicule montait en puissance pour atteindre des records (à Carpentras notamment!).

Depuis plusieurs années, on nous alerte sur le fait que ces phénomènes vont être de plus en plus courants, de plus en plus importants.

Al Gore, Nicolas Hulot, le GIEC, les ONG écologistes, les écologistes de tout bord, la liste est longue. Et plus récemment  » nos propres enfants ou petit-enfants  » commencent à nous ouvrir les yeux … Les faits sont là, nous ne pouvons plus les ignorer.

Transiter devient donc une nécessité absolue et ne doit plus être un simple argument de campagne pour tenter de poursuivre sur les mêmes bases sans impulser un vrai changement de cap.

Au Thor, l’équipe municipale actuelle a fait de belles choses notamment en termes de partage autour du Patrimoine, pour autant, elle n’a pas su rendre prioritaires les actions ambitieuses et nécessaires à conduire face aux dérèglements climatiques attendus. Ces actions nécessaires à la ville de demain auraient dû être engagées dès le début du mandat. Mais soyons honnête, nombreuses sont les villes et leurs habitants qui n’ose pas se lancer et transiter VRAIMENT.

Pourquoi ? Car cela effraie, alors que nous devrions être plein d’espoir.

De simples treilles pour les écoles ne suffiront donc pas à casser les ilôts de chaleur créés par le tout béton et la coupe d’arbres parfois nécessaire pour cause de maladie du platane par exemple.

La mise en place d’un dépose-minute à la Calade ne remplacera pas la refonte nécessaire des modes doux actuels qui n’attirent plus et la réflexion autour des nouveaux modes de déplacements doux qui doivent émerger.

Nous devons anticiper la réglementation, être novateur, bouger les lignes et ne pas attendre la loi Egalim pour manger local et bio dans nos cantines (Malaunay en Normandie l’a fait bien avant la loi et sans surcoût).

La suppression des voitures du centre-ville en envoyant depuis 6 ans l’activité commerciale en périphérie ne solutionnera en aucun cas le problème de fond de nos émissions de CO2.

Rénover sans re-végétaliser vraiment l’espace public ne doit plus être d’actualité. Le végétal doit prendre le dessus sur le minéral.

Les terres agricoles doivent être sanctuarisées sans commune mesure. Pourquoi permettre un projet comme Pouvarel, datant du siècle dernier et freiné jusque-là alors que les dernières inondations montrent que le terrain prend l’eau (malgré les cartes).

Nous devons ensemble repenser la ville, nous devons repenser ensemble notre mobilité, nous devons ensemble repenser nos priorités.